Pauvres gosses:"Nous aimons la mort autant que les Juifs aiment la vie".

Publié le par mai_si

Rêve d´enfants palestiniens:  "c´est pas de voir un état palestinien, c´est de voir disparaître l´état israëlien"

video: http://www.dailymotion.com/video/x48a8y_attentats-suicides-temoignages-denf_politics

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Combien de pauvres enfants inocents palestiniens vont encore se donner la mort avant que leurs gourous extrémistes ne réalisent qu´ils risquent d´épuiser leur stock d´enfants en voulant à tout prix rayer Israël de la carte? Cette responsabilité incombe aussi aux pro-palestiniens qui encouragent ces fous d´Allah sur les sites et ailleurs en légitimant ces actes par une quelconque revendication quitte à liquider des gamins naïfs
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rappel
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La guerre des enfants

 

La guerre des enfants s'est poursuivie. Ses implications éthiques et politiques, les responsabilités aussi, commencent à mieux se préciser.

 

Cette guerre est préméditée, organisée. Avant d'être envoyés au front, les enfants sont photographiés. S'ils sont tués, leurs photos sont prêtes pour l'enterrement et serviront à la guerre de propagande. Un sondage d'opinion récent de l'université de Bir Zeit indique que 26 % des Palestiniens approuvent la participation des enfants aux émeutes. Le recours aux enfants-martyrs est donc motivé par des causes politiques. L'indifférence à leur mort, dans leur propre communauté, a aussi des causes culturelles profondes.

 

Paul Fenton, islamologue, professeur au département des études arabes et hébraïques de Paris IV-Sorbonne, explique que "le Coran considère le djihad comme le devoir de tout musulman majeur. Les femmes et les enfants jusqu'à l'âge de la puberté n'ont pas cette obligation. Cependant, si cela devient une nécessité absolue lorsque l'Islam est menacé, le femmes et les enfants peuvent prendre part à la guerre. A partir de la puberté, disons 13 ans, le martyre est une valeur suprême pour gagner l'au-delà".

 

Pourquoi le djihad contre Israël ? Historiquement, Juifs et chrétiens étaient tolérés dans les pays musulmans, à condition qu'ils soient soumis. "Or, l'émergence de l'Etat d'Israël constitue une rupture de cet état de fait. Le Juif n'est plus soumis à l'Islam, il est au contraire en position de force, ce qui crée la condition du djihad".

 

Paul Fenton évoque aussi le fossé séparant Palestiniens et Israéliens, héritiers de deux traditions différentes face à la vie et à mort. Dans le judaïsme, "si la vie humaine est menacée, même de façon théorique, un Juif a le droit d'enfreindre un précepte", un commandement sacré. Et Fenton d'opposer à cet attachement fondamental à la vie un propos entendu de la bouche d'un Palestinien ; "Nous aimons la mort autant que les Juifs aiment la vie". (16)

 

Le même propos, dans la bouche d'un officiel du Fatah interviewé par France 3, est cité par un spécialiste en psychiatrie infanto-juvénile, Georges Gachnochi, pour expliquer les racines psychologiques du recours aux enfants-guerriers et de la connivence d'enfants avec leur emploi. "L'impact des images semble être le but recherché". On utilise donc des enfants pour évoquer le combat de David contre Goliath, et renvoyer aussi, dans le subconscient chrétien, "à toutes les accusations de meurtre rituel que l'on a pu entendre au cours des siècles". On oppose "le pauvre peuple palestinien au puissant peuple israélien". Par là on fait oublier que le monde arabe, une "hyper-force, est derrière les Palestiniens. C'est un choix délibéré. Et "les parents laissent faire. Lorsqu'une mère palestinienne déclare à la télévision qu'elle est plus heureuse lors des obsèques de son fils que le jour de son mariage, ou lorsque Yasser Arafat dit à son peuple 'faites dix enfants, deux pour vous et huit pour moi', il est bien évident qu'on incite très fortement à agir".

Quant à l'enfant, sa "tendance naturelle est de donner libre-cours à son agressivité (...). Et tant qu'on laisse faire l'enfant, il continue de plus belle". Faire partie d'une masse "procure le sentiment de toute-puissance (...). On va triompher dans la mort, dans celle des autres et éventuellement dans la sienne". (17)

 

Certains médias, après l'attaque du bus scolaire de Kfar Darom, ont mis en parallèle le enfants israéliens mutilés et les enfants palestiniens lanceurs de pierres. Le parallèle est scandaleux.

Des enfants palestiniens ont certes été blessés et tués. Mais à qui la faute ? Ces enfants étaient envoyés sciemment, cyniquement à la mort par des parents criminels et des organisations terroristes. Les enfants israéliens sont assassinés avec la même préméditation par les mêmes terroristes. Redisons, répétons jusqu'à en donner la nausée à ceux qui veulent l'ignorer, qu'à Kfar Darom les terroristes ont posé la charge, un obus de 120 piégé, sur le bord de la route et l'ont mis à feu à distance. Ils avaient surveillé le passage des véhicules. Ils ont volontairement laissé passer la jeep militaire escortant l'autobus. Il ont délibérément fait sauter l'obus au passage des enfants. Il n'y a pas de symétrie entre les "deux" guerres dont sont victimes des enfants juifs et palestiniens. Les enfants israéliens attaqués dans leur autobus à Kfar Darom se rendaient à l'école. Les enfants palestiniens lançaient des pierres et des cocktails Molotov et servaient de bouclier aux terroristes. Il y a une seule guerre des enfants : celle que livrent les terroristes contre les enfants arabes et les enfants juifs.

 

Cela n'a pas été perçu par la conscience internationale. L'utilisation criminelle d'enfants sacs-de-sable, d'enfants-boucliers n'a été dénoncée par aucune des grandes organisations humanitaires qui prétendent défendre les droits de l'homme. Pourtant, cette utilisation a même fait l'objet d'un échange révélateur dans ..... la presse arabe !

 

Une journaliste libanaise, Hoda Husseini, a condamné sévèrement ce crime et Yasser Arafat spécifiquement, dans un article du 25 octobre intitulé : "Pour la défense des enfants de Palestine". Elle interroge : "Sommes-nous à ce point dénués de moyens, que nous devions jouer avec la vie d'enfants en les poussant à affronter Israël ? Quelle guerre d'indépendance surgira-t-elle du sang des enfants, alors que les dirigeants et leurs enfants et petits-enfants sont à l'abri ? " C'est une "tactique cynique", "folle" et "immorale" de l'Administration palestinienne. (18)

Le rédacteur en chef du quotidien de cette administration, Hafiz Barghouti, a promptement répondu par une attaque venimeuse contre la journaliste libanaise. Le véritable problème, c'est que certains journaux arabes sont trop "assimilés" (aux moeurs de l'Occident) et influencés par "l'argent juif". Il conseille aux journalistes occidentalisés "de ne plus faire campagne avec des crayons à mine de plomb mais avec des balles de plomb". (19) Quelques jours plus tôt, dans le même journal, Barghouti avait célébré le rôle des enfants, "les troupes de choc" de la libération palestinienne. Empêcher les enfants d'y participer serait "l'une des plus graves transgressions" qui "nous fait plus de tort que les balles" israéliennes. Ceux qui refusent de mettre leurs enfants en danger sont comme des traîtres, "ils constituent une cinquième colonne". (20)

 

Ces propos dévoilent l'un des visages de l'administration palestinienne. On ne peut douter qu'elle soit en prise avec l'opinion qui prévaut dans la population palestinienne. Lors du sondage d'opinion conduit par l'université de Bir Zeit, 62,3 % des interrogés approuvaient des attaques armées contre tous les Israéliens, civils et militaires.

 

L'enseignement de la haine

 

Les enfants lanceurs de pierres, leur entraînement à la kalachnikov sont, enfin, l'aboutissement d'un processus éducatif. On prend des innocents et on en fait des haïsseurs des Juifs. Ce processus commence dès l'école, dès le jardin d'enfants.

 

Le Centre pour la surveillance de l'impact de la paix, fondé en 1998 aux Etats-Unis, a publié une étude sur les manuels d'enseignement palestiniens, datant de plus de deux ans et officiellement admis par l'Autorité palestinienne qui contrôle programmes et publications scolaires. Plus de 700 000 enfants utilisent ces manuels, dans 550 écoles. Ce rapport avait été communiqué au Sénat américain avant les discussions de Wye Plantation et remis personnellement par le président Clinton à Yasser Arafat.

 

Sur les 158 citations retenues par le rapport, l'UNRWA (l'Agence des Nations unies pour l'assistance aux réfugiés palestiniens) en a reconnu 143 comme "agressives" ou "antisémites" selon ses propres critères. La totalité de ces manuels contrevient aux accords de Wye Plantation et d'Oslo, qui interdisaient toute propagande hostile. Les grands médias ont largement ignoré cette incitation à la haine antijuive, de même que les grands intellectuels si attentifs à dénoncer les incitations à la haine raciale.

 

Voici quelques exemples de textes incitateurs.

 

A propos du conflit entre Mahomet et les Juifs de Médine : "Enseignement à tirer : ... il faut se méfier des Juifs, car ils sont traîtres et déloyaux". (Education islamique, Neuvième, n°589, p79).

 

"Jérusalem est une ancienne cité arabe, construite par les Jébuséens avant l'Islam". (Education islamique, Huitième, n 576, p50).

 

"Rappelle-toi : le résultat final inévitable sera la victoire des Musulmans sur les Juifs." (Notre langue arabe, Cinquième, n°542, p 67).

 

"Comprendre le caractère raciste et agressif du mouvement sioniste. Résumé des similitudes entre nazisme, fascisme et sionisme". (L'Histoire moderne des Arabes et du monde, Douzième, n° P - 115-11-003, p92).

 

A propos de l'incendie de la mosquée Al-Aksa à Jérusalem septembre 1969, provoqué par un Australien non-juif : "Cet incendie constitue un chapitre supplémentaire du complot sioniste, dont le but est de prendre le contrôle de ce lieu saint islamique qu'est la Coupole du Rocher et de toute la zone du sanctuaire de Jérusalem, et de détruire tout ce qui est saint pour l'Islam". (Recueil de textes littéraires, Huitième, n°578, p97).

 

"Déterminer le sujet et l'attribut dans la phrase suivante : le Jihad est devoir religieux de chaque musulman et musulmane". (Notre langue arabe, Cinquième, n°542, p167).

 

On trouve les qualifications suivante pour les Israéliens et les Juifs : fourbes, imposteurs, traîtres, déloyaux, animaux sauvages, agresseurs, bandits, ennemis, conquérants, détrousseurs, ennemis des prophètes et des croyants. Le sionisme est : l'ennemi, l'oppresseur, la cupidité. L'administration juive est raciste, etc.....

 

Une autre étude du Centre de surveillance, publiée en mars 2000, analyse un Guide des enseignements définissant les méthodes et les objectifs pédagogiques palestiniens. Voici sept de ces objectifs :

 

Convaincre que "le sionisme est un exemple de nazisme, fascisme et racisme".

 

Etablir que "le sionisme met en danger la société arabe et qu'il doit être jugulé".

 

Marquer que "le comportement démoniaque des Juifs est à l'origine de la persécution antisémite" (antijuive).

 

Affirmer que "le Judaïsme est une religion raciste."

 

Inculquer "la haine du sionisme".

 

Démontrer que "le sionisme est une part de l'impérialisme européen."

 

Expliquer que "Les Juifs acceptent volontiers leur propre persécution parce qu'elle leur est profitable."

 

Pour chaque objectif, des textes sont conseillés. Par exemple cette soi-disant citation du Talmud, tirée de l'Histoire contemporaine des Arabes et du monde (p 120) : "Nous (...) (les Juifs) sommes le peuple de Dieu sur la terre. Dieu a agi sur l'animal humain, sur toutes le nations et races pour qu'elles nous servent, nous (les Juifs) et il nous a distribués à travers le monde pour dominer (...). Les non-Juifs sont des porcs que Dieu a créés sous forme humaine pour qu'ils servent les Juifs pour qui Dieu a créé le monde." Or cette soi-disant citation est la quasi-redite d'une falsification de 1938 de Julius Streicher, le directeur du Stürmer nazi.

 

E. Echter, résumant l'étude du Centre de surveillance, en tire cette conclusion : "Si le monde libre ignore ces réalités de la politique arabo-palestinienne, c'est qu'il est aveugle (...). S'il les connaît et les cache, alors qu'il est complice d'incitation au crime, une nouvelle culpabilité qui entachera à jamais l'histoire de notre temps." (21)

 

Cet enseignement scolaire se prolonge à la télévision palestinienne, par des programmes destinés à la jeunesse. Les enfants-héros y sont proposés en modèle. On entend par exemple une fillette de douze ans entonner cette chanson : "Je veux être une kamikaze. Je n'ai pas peur de la mort. La vie a peu de valeur. Mon peuple saura que je suis une héroïne." (22)

 

L'endoctrinement se poursuit par des cours d'instruction civique, où des enfants miment des scènes d'affrontements et de victoire sur les Juifs. De même, dans les camps de vacances organisés par le Fatah, "des enfants de dix à quinze ans ont appris comment se comporter lors d'une manifestation, secourir un camarade blessé, tirer à l'arme automatique ou attaquer en groupe une localité juive pour l'incendier." (25) L'entraînement dans un camp de vacances a été montré par la télévision française, bien avant le commencement des émeutes d'octobre-novembre 2000.

 

Le 30 novembre 2000, le magazine " Envoyé spécial " de France 2 a consacré un reportage à la guerre des enfants. A côté des images obsessionnelles, cent fois vues, des lanceurs de pierres, on a montré des extraits (trop brefs) d'une cassette de séquences de la télévision palestinienne : endoctrinement d'enfants en âge du jardin d'enfants et de l'école primaire, récitation de slogans haineux, aspiration au martyre, et mères disant leur bonheur de voir leurs fils tués pour la cause et se disant prêtes à sacrifier leurs autres enfants. Cependant, les réalisateurs d'"Envoyé spécial" n'ont pas montré la monstruosité morale de l'envoi d'enfants en premières lignes, ni l'aspect juridique : à savoir que c'est un crime de guerre. On n'a pas interrogé les organisations internationales ou françaises de défense de l'enfant, les autorités politiques, des juristes, pour leur faire dire comment ils jugent cette monstruosité et ce crime.

 

Malheureusement, la guerre des enfants ne mobilise la conscience internationale qu'à contresens. Elle a servi et servira longtemps encore à vilipender Israël. Les voix qui devraient dénoncer ceux qui utilisent les enfants ne se sont pas élevées. Il y a plus.

 

La communauté internationale non seulement veut ignorer largement l'enseignement de la haine et ses conséquences, elle le finance. Le système éducatif palestinien a été mis sur pied dès 1994, grâce, notamment, à une aide financée par une trentaine de pays. C'est l'argent des contribuables de ces pays qui sert à imprimer les dizaines de milliers de livres scolaires dont le contenu a des traits communs avec les productions du délire nazi. Contre notre gré, on fait de nous tous les commanditaires d'un crime. Mais que penser des autorités des pays donateurs, qui connaissent les faits et n'interviennent pas ? Pourquoi tolèrent-elles l'incitation à la haine raciale ?

 

Au plan juridique, il existe des moyens de contrôler l'emploi de l'argent versé aux Palestiniens. Il existe, en tout cas, des outils juridiques interdisant l'utilisation d'enfants-guerriers. Le 25 mai 2000, les Nations unies ont adopté un protocole additif à la convention des droits de l'enfant. La participation d'enfants de moins de 18 ans y est interdite, dans quelque circonstance que ce soit, par les mouvements de guérilla. Par ailleurs, selon une Convention de Genève, tout recrutement et utilisation d'enfants-soldats est un crime de guerre. (24)

 

Mais que fait la communauté internationale pour faire châtier les criminels de guerre qui transforment des enfants en guerriers, en cibles, en bouclier ? Rien !

 

On se mobilise quand on maltraite les animaux de compagnie, les animaux envoyés à l'abattoir. On reste de glace quand des criminels envoient des enfants à la mort. Quand on assassine les enfants Juifs dans un bus scolaire, quand on transforme les enfants palestiniens en sacs-de-sable, en cibles, les organisations de défense de l'enfant se taisent.

 

Il faut ajouter que les Palestiniens ne sont pas les seuls à mener des campagnes antisémites. Ces excès sont courants dans d'autres pays arabes. Voici deux exemples récents.

 

Le 26 octobre 2000, le quotidien gouvernemental égyptien Al-Ahram a publié un long article d'Abdel Hamooda, expliquant la "bestialité" des Juifs qui assassinent des enfants arabes et les saignent pour confectionner les pains azymes de la Pâque : "Un Juif religieux n'a pas le droit de vivre dans les villes saintes pour les Juifs, à moins qu'il ne consomme l'une de ses matsas sanglantes. (25)

 

Ce fatras moyenâgeux de retrouve sous la plume de dirigeants. Ainsi, Mustafa Tlass, vice-président syrien, qui avait publié il y a quelques années Les matsas de Sion où il avait décrit d'imaginaires crimes rituels juifs, récidive de la même encre sur la présence juive à Jérusalem : "Les colons se réfèrent au 'retour au mont Sion' pour justifier leur colonisation de la région. Cette politique s'appuie sur un mythe entretenu par des Juifs religieux, selon lequel la colline où s'élève les deux mosquées d'El Aksa et le Dôme du Rocher étaient jadis le site du Temple juif. (26) 

plus d´infos: http://www.sefarad.org/desinfo/giniewski.html

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« on pourra peut-être un jour pardonner aux Arabes d'avoir tué nos enfants. Pourra-t-on leur pardonner de nous avoir obligé à tuer les leurs ». Golda Meir.

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R
Shalom à tous!<br /> C'est malhereux, mais hélas, ce bien cela que les arabes ont du mal a comprendre. Que les adultes aillent ses faire tues, munis de leurs furies mais il faut être totalement toqués, pour poussé des enfants a la mort. C'es à ce demander si ses gens aiment vraiment leurs créateur? Pensent-ils vraiment que D... jubile en regardent ce carnage d'anges? A mon avis, ses gens doivent ses posés a fin d'y reflechir en ce que cela signie, la essence véritable de ce dieu, qu'ils disent aimait tant.
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