Recrudescence des viols racistes commis par les musulmans occidentaux
TéHéRAN - L'Iran va fabriquer des "vélos islamiques" pour les femmes, censés dissimuler leurs formes. Ce vélo comprendra une cabine qui couvrira la moitié du corps de la cycliste.
(AFP)
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Video: http://www.dailymotion.com/video/xtc4k_sheikh-viol-soumission-femme-islam_news
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Recrudescence des viols racistes commis par les musulmans occidentaux
En Australie, en Norvège, en Suède et dans d'autres pays occidentaux, il y a une recrudescence de crimes racistes ignorés par les autorités : les musulmans violent les femmes occidentales pour des raisons ethniques. Nous le savons, car les violeurs expliquent eux-mêmes leurs motivations.
Lors de l'épidémie de viols collectifs à Sydney entre 1998 et 2002, un certain nombre d'adolescentes australiennes ont subi de nombreuses agressions sexuelles qualifiées d'ethniques par leurs auteurs. Les jeunes victimes étaient traitées de « salopes » et de « porcs australiens », tout en étant pourchassées et agressées.
À la Cour suprême australienne, un violeur pakistanais a déclaré que ses victimes n'avaient aucun droit de refuser étant donné qu'elles ne portaient pas le foulard.
Plus tôt dans l'année, les Australiens ont été indignés par les propos du Sheik libanais Faiz Mohammed. Celui-ci a déclaré lors d'une conférence à Sydney que les victimes de viols l'avaient bien cherché, car en s'habillant de façon indécente, elles invitaient les hommes à les violer.
Quelques mois plus tôt, à Copenhague, le mufti et haut dignitaire islamique, Shahid Mehdi a suscitait l'indignation quand, comme son homologue en Australie, il a expliqué que les femmes qui ne portaient pas le foulard islamique demandaient à être violées.
En 2004, le Telegraph de Londres rapportait que selon le Sheik Yusaf al-Qaradawi, les femmes violées habillées de façon indécente devaient être punies. Il a ajouté : « pour qu'elle soit affranchie de la culpabilité, une femme violée doit avoir montré la bonne conduite ».
En Norvège et en Suède, le journaliste Fjordman parle d'une épidémie de viol.
Selon l'inspecteur Gunnar Larsen, le lien entre l'augmentation régulière des viols et l'appartenance ethnique est claire et indubitable.
Deux viols sur trois commis à Oslo sont le fruit des immigrés musulmans et 80% des victimes sont des femmes norvégiennes.
En Suède, selon Ali Dashti, « Les viols collectifs, habituellement faisant participer les mâles immigrés musulmans et les filles suédoises indigènes, sont devenus banals. Il y a quelques semaines, cinq Kurdes ont brutalement violé une Suédoise de 13 ans. »
En France, Samira Bellil est sortie de son silence - après avoir supporté des années des viols collectifs répétés dans des cités majoritairement habitées par des musulmans - et a écrit un livre, « Dans l'enfer des tournantes ». Décrivant comment le viol collectif est effréné dans les banlieues, elle a expliqué au Time que, « n'importe quelle fille du quartier qui fume, emploie du maquillage ou porte des vêtements attrayants est une putain.. »
Malheureusement, les femmes occidentales ne sont pas les seules victimes de cette épidémie. En Indonésie, en 1998, les groupes de droits de l'homme ont rapporté le témoignage de plus de 100 femmes chinoises violées pendant les émeutes qui ont précédé la chute du Président Suharto. Bon nombre des violeurs ont dit : « vous devez être violées, parce que vous êtes chinoises et non musulmanes. »
La Solidarité chrétienne internationale a rapporté qu'en avril 2005, une fillette pakistanaise de 9 ans a été violée, battue avec une batte de cricket, pendu au plafond par les pieds, menottée, a eu des cuillérées de piment versé dans la bouche et à maintes reprises frappées, par ses voisins musulmans.
Ils lui ont dit qu'ils se vengeaient des bombardements américains sur les enfants irakiens et qu’ils le faisaient parce qu'elle était « infidèle et chrétienne ».
Au Soudan - où les musulmans arabes abattent les musulmans noirs et les Soudanais chrétiens dans un génocide continu - l'ancien esclave soudanais et maintenant activiste des droits de l'homme Simon Deng explique qu'il était témoin des filles et des femmes violées et que le régime arabe de Khartoum envoie ses soldats pour commettre ces crimes. Dans d'autres rapports, des femmes qui sont capturées par des forces gouvernementales sont interrogées : « êtes-vous chrétienne ou musulmanes ? » et celles qui répondent chrétiennes, sont violées, et leurs seins coupés.
Ce phénomène de violences sexuelles islamiques contre des femmes non-musulmanes occidentales devrait être traité comme une épidémie pressante, violente, répressive. Au lieu de cela, les journalistes, les intellectuels, et les politiciens l'ignorent, le rationalisent, ou diabolisent ceux qui osent en parler.
Keysar Trad, vice-président de l'association musulmane libanaise australienne a indiqué que les viols collectifs étaient un crime « honteux » mais se plaignait que l'appartenance ethnique des violeurs ait été rapportée.
La journaliste Miranda Devine a rapporté que pendant les procès pour viols, toutes les références quant à l'appartenance ethnique des agresseurs avaient été supprimées des dépositions des victimes parce que les procureurs et les avocats voulaient négocier pour réduire la gravité des charges. Ainsi, quand la juge Megan Latham a déclaré : « il n'y a aucune preuve devant moi qui montre que ces délits ont une connotation raciste », tout le monde l'a crue.
Priest rapporta comment, dans une région à dominance musulmane de Sydney, deux policiers ont arrêté une voiture contenant 3 hommes du Moyen-orient recherchés pour vol. Pendant que les policiers les fouillaient, les 3 hommes les ont menacés physiquement et ont déclaré qu'ils allaient les traquer, les capturer, les tuer et ensuite violer leurs petites amies. Comme les policiers demandaient des renforts, les 3 hommes ont utilisé leurs téléphones portables pour appeler leurs complices, et en très peu de temps, 20 moyen-orientaux sont arrivés sur les lieux. Ils ont frappé, malmenés les policiers et endommagés les véhicules de police ; les policiers se sont repliés, mais le gang les a suivis au commissariat de police. Ils ont intimidé le personnel, endommagé le matériel et ont pris le commissariat en otage. Une fois le gang parti et les policiers remis de leurs émotions, aucune action de police n'a été menée contre ces individus. Selon Priest, pour la population locale, le message qui résulte de cette histoire est clair : « les Libanais (gang musulman) ont pris le contrôle de la ville. »
En France, dans les banlieues, où le viol collectif est communément appelé « tournantes », les victimes savent que la police ne les protégera pas. Selon Samir Bellil, si elles se plaignent, elles savent qu'elles ou leur famille seront menacées.
Néanmoins, les femmes musulmanes dans les banlieues françaises luttent contre le viol collectif et la passivité de la police. Elles ont créé un mouvement disant : « nous ne sommes ni putes ni soumises. » Elles se battent contre la violence présente dans les banlieues et contre leur culture qui ferme les yeux sur ça.
Dans la plupart des procès français, les violeurs musulmans déclarent qu'ils ne croient pas qu'ils ont commis un crime. Et dans un parallèle effrayant avec les violeurs en Australie, ils disent que la victime doit se blâmer elle-même et l'accuse d'être une « salope » ou une « putain. »
Selon le Guardian, pendant les émeutes françaises récentes, un prince saoudien avec des parts à News Corporation a revendiqué à une conférence à Dubaï qu'il avait téléphoné à Rupert Murdoch et s'était plaint au sujet des nouvelles de Fox News décrivant les perturbations en tant qu’ « émeutes musulmanes. » Dans la demi-heure qui a suivi, le terme a été changé en « émeutes civiles. »
Le traducteur suédois, Ali Dashti, a déclaré que quand une jeune femme de 22 ans s'est récemment fait violer par 3 hommes, ceux-ci ne lui ont dit qu'une seule chose : « pute ». Selon Dashti, des histoires semblables sont relatées chaque semaine dans les journaux suédois. Et le politiquement correct « prend grand soin de ne pas mentionner les origines ethniques des auteurs de ces crimes ».
À Malmö, la troisième plus grande ville de Suède, la police a admis qu'elle ne commande plus la ville. « Elle est efficacement dirigée par les troupes violentes des immigrés musulmans » Le personnel d'ambulance est régulièrement attaqué et refuse maintenant d'aider jusqu'à ce qu'une escorte de police arrive. La police a trop peur pour investir des parties de la ville sans protection.
Début 2005, les journaux norvégiens ont signalé qu'Oslo avait enregistré le nombre le plus élevé de cas de viols depuis 1 an. Cependant, Fjordman explique que les statistiques officielles ne contenaient aucune donnée concernant « la surreprésentation des immigrés dans les auteurs de viols », et les médias demeurent étrangement silencieux.
Le professeur d'Oslo d'anthropologie, Unni Wikan, a dit que les femmes norvégiennes doivent prendre la responsabilité du fait que les hommes musulmans trouvent leur façon de s'habiller provocatrice. Et puisque ces hommes croient que les femmes sont responsables du viol, les femmes doivent s'adapter à la société multiculturelle !!!!
La BBC a fait un documentaire programmé en 2004, avant que la police en Grande-Bretagne ait averti qu'il pourrait augmenter la tension raciale. « Dans ces circonstances exceptionnelles... À Channel 4, l'animateur responsable a accédé à la demande de la police... ». Le documentaire qui devait montrer comment les Pakistanais et d'autres hommes musulmans ont sexuellement maltraité des jeunes filles anglaises blanches aussi jeunes que 11 ans, n’a jamais passé à l’antenne.
Le nombre de viols commis par des hommes musulmans contre des femmes dans la dernière décennie est tellement haut qu'il ne peut pas être regardé autrement qu'un comportement culturellement implicite.
Il est manifestement renforcé et encouragé par les chefs religieux musulmans qui blâment les victimes et excusent les violeurs.
En trois décennies d'immigration dans les pays occidentaux, l'Islam a causé des bouleversements et des ravages sociaux dans chacun de ses pays d'accueil. Aucun autre programme d'immigration n'a rencontré les problèmes de non-assimilation et d'ambiguïté religieuse.
Partout dans le Monde, les musulmans sont en conflit avec leurs voisins.
Mark Steyn a même déclaré récemment : « chaque conflit semble avoir pour origine une personne nommée Mohammed ».
En juillet 2005, le Sheik de Melbourne, Mohammad Omran a raconté dans Sixty Minutes : « …nous estimons avoir plus de droits que vous, car nous avons choisi de vivre en Australie, contrairement à vous ».
Dans la même interview, le Sheik Khalid Yasin avertissait : « un musulman ne peut pas avoir d'ami non-musulman ; un non-musulman peut être votre collègue, mais en aucun cas votre ami. Ils ne sont pas vos amis parce qu'ils ne comprennent pas vos principes religieux et ils ne le peuvent pas étant donné qu'ils ne comprennent pas votre foi ».
Malgré les discours répétés des dignitaires islamiques, et des témoignages de l'importance des crimes islamiques, les Occidentaux continuent bêtement et stupidement à croire en une réelle intégration et au relativisme moral.
En Australie, les Libanais chrétiens s'intègrent et deviennent une part respectable de la communauté. D'ailleurs, le premier ministre australien est un Libanais chrétien, tout comme le gouverneur de New South Wales. En revanche, les Libanais musulmans se heurtent à de sérieux problèmes, car ils refusent d'accepter notre droit à vivre notre mode de vie.
Rien ne peut démontrer clairement que ce n'est pas un problème de race, mais de culture.
Sharon Lapkin
source: http://www.a7fr.com/Article/45611.htm
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video: http://www.dailymotion.com/video/k1UQQIAIaKdGzXD00n
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Au cours du jihâd, la femme de l’ennemi fait partie du butin. A ce titre, le musulman dispose de son corps une fois qu’il l’a réduit en esclavage. Le rite malékite, officiel au Maroc et en Algérie, choisi par l’Institut de théologie de la Grande mosquée de Paris, se base sur un ouvrage fondamental : Al-Muwatta’ "synthèse pratique de l’enseignement islamique" de Abdu-llah Mâlik, jurisconsulte médinois du septième siècle appelé communément, excusez du peu, "l’imam des imams". Al-Muwatta’ est tellement populaire chez les musulmans qu’il s’en vend à la Fnac et au Virgin Mégastore, ainsi qu'à la "librairie-boutique" de l'Institut du Monde Arabe.
Voici ce qu’on peut y lire à la page 450 de la traduction de Muhammad Diakho pour les éditions Albouraq :
(1262) 95- « Ibn Muhayriz a rapporté : « j’entrai à la mosquée et à la vue de Abû Sa’îd al-Khudrî, je m’assis près de lui et je lui demandai au sujet de l’éjaculation en dehors de l’utérus. Il me répondit : « Nous quittâmes Médine avec Mahomet dans une expédition contre les Banû al-Muçtaleq. Nous prîmes pour captives les meilleures femmes arabes. Comme nous les désirions, et que nous souffrions de notre célibat, nous avions voulu avancer des rançons en échange des captives, puis de cohabiter avec elles en éjaculant en dehors de l’utérus. Alors, nous nous dîmes : « Ferons nous cela sans le demander à Mahomet qui est parmi nous ? » En le lui demandant il répondit : « Il n’y a pas de mal à faire cela » »
source: http://www.islamisation.fr/archive/2007/12/23/les-circonstances-attenuantes-du-viol-en-islam-un-tabou-a-10.html