Mahomet est-il un exemple à suivre?

Publié le par mai_si

Tuer au nom d´Allah est-ce une référence dans des pays qui se veulent démocratique?

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MAHOMET, LE TUEUR D'ALLAH
pour une interdiction de l'Islam...


Il est inacceptable que des lieux publics tels que les mosquées et les écoles coraniques dispensent un enseignement et célèbrent le culte d'une religion falsifiée qui légitime en réalité la capture (Sira 1 649 651 ), le meurtre (Sira 1 643 646) et la mise en esclavage (Sira II 244 245) d'êtres humain et leurs biens en vue de l'enrichissement personnel des agresseurs. Allah, l'alibi de Mahomet est une divinité qui en fait donne pour mission à des tiers sur terre de se substituer à elle afin d'exercer en son nom des représailles à tout le genre humain en vue de le soumcttre. Autrement dit, Allah censément être l'auteur du Coran donne toute autorité et blanc seing dans le texte à ses fidèles de déchainer le djihad, guerre sainte contre les non-musulmans où ils veulent, quand ils veulent. Ceci s'effectue dans le cadre de la loi coranique, la charia, dans laquelle la démocratie et la laïcité sont des blasphèmes.Comment prétendre que l'on peut légalement vouer un culte à des contre-valeurs où la discrimination, la violence, la cruauté, le sadisme sont élevés au rang de glorieux faits d'armes, de fierté et de jactance ? 


Comment bâtir toute une religion sur le personnage de Mahomet qui justifie ses actes par de prétendues révélations d'Allah venues chaque fois à point nommé, contenues dans les versets du Coran et qui sont du domaine du crime (le droit commun, à savoir : meurtres avec préméditation, vols à main année, rapts, trafics d'esclaves, assassinats dans le cadre d'associations de malfaiteurs selon nos critères occidentaux encore en vigueur d'après les dernières nouvelles .L'islamisme n'est que la pratique de l'islam contenu dans le Coran, n'en déplaise aux escrocs et complices honteux du politiquement correct et de la langue de bois. Un kamikaze n'est pas un extrémiste ni un fou, mais ne fait qu'appliquer consciencieusement dans la pratique les enseignements théoriques du Coran.Cette idéologie justifie les crimes de masses, les génocides théologiques qui ensanglantent la planète jusqu'à nos jours depuis 14 siècles et au nom duquel s'effectuent actuellement les pires attentats, dans le monde contre l'humanité. Ce culte et cet enseignement contenu dans le Coran ne sont pas compatibles, avec la civilisation occidentale au sein de la république laïque démocratique. Ils sont en infraction dans le code pénal avec l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur l'apologie du crime, la mise en danger d'autrui et les articles 410 et suivants relatifs aux intérêts fondamentaux de la nation mis en cause dans leurs projets hostiles en liaison avec l'étranger. Ces menaces permanentes sur le sol national rendent la diffusion du Coran contraire au droit, requiert en conséquence son interdiction avec la fermeture judiciaire des mosquées, et des écoles coraniques comme zones de non-droit...

L'édition d'Al-Babi al Halabi du Caire de 1936 et 1955 en deux volumes en arabe est considérée dans la communauté musulmane comme la plus fiable et la mieux commentée. La Sira, biographie de Mahomet d'Ibn Icham, la référence en ce domaine, la plus ancienne et la plus complète, décrit ainsi les faits fondateurs de cette tragédie mondiale qui dure et endeuille encore jusqu'à présent par sa barbarie sanguinaire la planète entière. Les textes biographiques de Mahomet montrent l'idéologie fondamentale de l'islam. Elle consiste à liquider physiquement le non musulman, s'emparer de ses biens, réduire en esclavage ou à la soumission ceux qui doivent servir les intérêts matériels des musulmans (Sira 1626-628) « Allah permet d'abattre un bon nombre de chefs de guerre et d'amener de nombreux prisonniers ». Le djihad, la guerre de conquête perpétuelle faisant le vide autour de lui, et brisant les moyens de production en tuant les producteurs, parasite la société. Il devient donc indispensable de courir perpétuellement après de nouvelles conquêtes, de tueries pour apporter de nouvelles richesses à son Prophète et aux califes, heureux héritiers du système, s'entretuant allégrement d'ailleurs dans de sanglantes successions.


La Sira de Mahomet : histoire d'un Génocide (570-632) (extraits)


Les Quraych maltraitent l'Envoyé de Dieu (Sira 1289-291)
Après avoir tourné pour la troisième fois autour du sanctuaire païen (ainsi que juif et chrétien) de la Ka'ba, devant les véhémentes protestations des Quraych, Mahomet s'arrêta et leur dit : « Écoutez moi, hommes des Quraych, j'apporte le sabre par lequel vous mourrez égorgés ». Dès le début, Mahomet le despote, ne supportant aucune opposition, annonce lui-même sans équivoque la teneur fondamentale de l'islam sanguinaire, le règne de la terreur.
Les cadavres des païens sont jetés clans une fosse commune (Sira 1638-641) suivant les directives du Prophète.
 
Retour du Prophète à Médine et sort des prisonniers (Sira 1643 646).
De quoi nous félicitez-vous ? dirent les combattants à ceux qui les congratulaient. Nous n'avons rencontré que des vieillards sans cheveux, prêts à être immolés : nous les avons égorgés.
Neveu, lui dit le Prophète avec un sourire, c'étaient des chefs et des notables de la Mecque. Le prophète ordonna de tuer Uqba qui lui demanda avant de mourir :
- Mahomet qui va nourrir mes petits enfants ?
- Le feu, répondit-il. Ali lui trancha la tête.

Le rachat des prisonniers (Sira 1 649 - 651) se fait après d'âpres marchandages entre les musulmans et les Quraych sur le montant de la rançon. Paye notre dû dirent les musulmans à Mikraz venu libérer Suhayl.
Je n'ai pas de quoi payer mais libérez Suhayl et prenez moi en otage. Cc qui fut fait, l'otage libéré et Mikraz attaché aux pieds par les ravisseurs en garanti.

Expédition de Zayd ibn Haritha à l'oasis de Qarada (Sira Il 50 -51)
Le prophète envoya Zayd s'emparer d'une caravane menée par un guide des Banu Bakr qu'il intercepta sur un point d'eau dans le Najd. Zayd réussit à s'emparer de bêtes et leurs chargements sans pouvoir saisir les hommes qui lui échappèrent. Il rapporta son butin au Prophète.

L'exécution de Ka'b ibn Al-Achraf (Sira II 51 - 58) : le poète juif à la lecture des Quraych tués par les hommes de Mahomet à Badr, composa des poèmes indignés et exorta les gens de la Mecque contre lui. Mahomet envoya des hommes pour le tuer qui, à la suite d'un guet-apens le poignardèrent à mort.

Exécution des Banu Quraydha (Sira II 58-60)  "Tout juif qui vous tombe sous la main, tuez le" que l'on retrouve dans le Coran Sourate V verset 33 (extrait) « ils seront tués ou crucifiés ou bien leur main droite et leur pied gauche seront coupés ». Cette terreur alléguée permet à Mahomet, chef de guerre de réclamer 100 % du butin, les victimes tétanisées par la peur s'étant rendu sans résistance. A la veille de la venue dramatique de l'islam, les arabes, les juifs, les chrétiens vivaient en bonne intelligence. Les juifs, en Arabie possédaient des oueds producteurs de dattes et de céréales, habitaient dans de vastes et hautes demeures fortifiées pour se protéger des razzias bédouines et leurs commerces par les caravanes avec les arabes chrétiens et polythéistes concouraient à la prospérité de ce pays pauvre en ressource au demeurant. Mais la venue calamiteuse de Mahornet changea radicalement les rapports.

Expulsion des Banu Nadir : (Sira II 190 - 203). « Le prophète attaque les Banu Nadir : les juifs négocièrent leur vie en contrepartie de leur départ. Mahomet accepta et répartit l'important butin ». Confirmé par le Coran sourate 13 verset 41 « Ne voient-ils pas que nous intervenons dans les pays infidèles pour en diminuer l'étendue » et sourate 9 verset 4 et 5 « Respectez pleinement le pacte conclu avec les polythéistes. Après que les mois sacrés se seront écoulés, tuez les polythéistes partout où vous les trouverez. Capturez les, assiégez les, dressez leur des embuscades » (les chrétiens sont polythéistes aux yeux de l'Islam à cause de la Trinité) et Sourate 17 verset 58 ext. « Il n'y a pas de cité que nous ne détruirons ». La fameuse tolérance à la mode de l'islam est celle du vainqueur musulman envers le vaincu juif ou chrétien qui dure le temps de son bon plaisir. Les biens détenus par les non musulmans sont illicites et doivent être récupérés par les musulmans, dont l'action violente est par conséquent licite et même obligatoire comme devoir divin du croyant défini dans le Coran sourate 4 verset 89 « s'ils se détournent (du djihad) saisissez les, tuez les partout où vous les trouverez ».

Le trésor des Banu Nadir (Sira II 336 337) Le mari de Cafiyya détenait le trésor. Sommé par le Prophète d'en révéler la cachette, il fut torturé par les musulmans puis eut la tête tranchée quand une paille fut découverte.
Histoire de Cafiyya, mère des croyants (Sira II 636). Les captives de Khaybar furent largement réparties entre les musulmans. Le Prophète eut en partage Cafïyya et deux de ses cousines. Il mit son manteau sur Cafiyya après l'avoir fait asseoir. Les musulmans comprirent qu'il se la réservait.

Les Banu Quraydha se rendent au jugement du prophète (Sira Il 239 - 240). « Celui-ci décréta que les hommes seront tués, leurs biens répartis entre les musulmans et que les femmes et enfants seront bannis » confirmé par le Coran sourate 47 verset 3 ext: « lorsque vous rencontrerez des incrédules, frappez les à la nuque jusqu'à ce que vous les ayez abattus."

Les Banti Quraydha sont égorgés (Sira II 240 - 241). Le prophète ordonna de faire descendre de leurs fortins les Banu Quraydha et de les enfermer. Ils étaient 600 -700. Après les avoirs disposés au bord d'un immense fossé creusé à cet effet le Prophète ne cessa de les égorger jusqu'à leur extermination totale confirmé par le Coran; sourate 7 verset 78 « le cataclysme fondit sur eux et le matin suivant ils gisaient dans leurs demeures ».
L'exécution de Huyavv (Sira II 241). On le fit venir devant le Prophète les mains ligotées, tailladé de toutes parts. « Je ne regrette absolument pas d'avoir été ton ennemi, dit-il » Puis il s'assit et le Prophète lui trancha la tête.

Le partage du butin pris aux Banu Quraydha (Sira II 244-245).
Le prophète fit ensuite le partage des femmes, des enfants et des biens des Banu Quraydha entre les musulmans. Avant tout partage, il prit pour lui le cinquième du butin, puis il établit les règles de la répartition : deux actions pour un cheval : une action pour son cavalier : une action pour le fantassin. Les cavaliers ayant pris part à l'extermination des Banu Quraydha étaient au nombre de trente six. C'était le premier butin auquel s'appliquait cette règle du cinquième pour le Prophète et de la répartition par action des quatre cinquièmes. Ce principe fut adapté par la suite pour le partage du butin après toutes les expéditions et les conquêtes. Le Prophète envoya dans le Najd une partie des captives juives des Quraych, contre lesquelles il acheta des chevaux et des armes.

Histoire de Rayhâna (Sira I1 245). Parmi les captives des Banû Quraydha, le Prophète avait choisi pour lui-¬même une femme juive appelée Rayhana qui resta chez lui en sa possession jusqu'à sa mort mais qui résistant à la conversion fut mise en quarantaine jusqu'à ce qu'elle cède, le Prophète s'en réjouit.
Bannissement des juifs de Khaybar, sous le calife Oniar (Sira II 356 - 358) « En effet le Prophète avait dit qu'il ne pouvait y avoir qu'une seule religion en Arabie sourate 33 verset 27 : « il vous a donné en héritage leur pays, leurs habitations, leurs biens et une terre que vos pieds n'ont jamais foulés ».

Peretti
par occidentalis
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fais attention avec certains articles <br /> essaye de bien comprendre avant de sortir des articles comme ca.<br /> on dirait que tu ecris sans reflechir.
Répondre
M
<br /> fais attention, relis un peu mieux, l´article ce n´est pas moi qui l´ai écrit, réfléchissons, qu´est ce qui est déplacé dans cet article, je suis prêt à essayer de mieux<br /> comprendre.<br /> <br /> <br />